Là, sur son lit de sable, je m’assoupie
L’océan m’offrant sa tranquille quiétude
Son bruissement m’emporte au loin
M’enivre même de son va et vient.
A présent mon âme en veut plus
Envoûtante, tu as aiguisé mes sens
Je ne saurai à présent qu’ouvrir mes yeux
T’observer, m’en dire mieux.
Le soleil s’invite créant un ballet
Ici se joue la symphonie des éléments
Il ne manque alors que le vent
Alors que mille phares me font face.